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Parce que certaines de nos plongées peuvent être, profondes, longues et engagées, nous avons besoin d'un matériel performant et fiable... Grâce à nos partenaires et leur à soutien indéfectible nos immersions sous-terre ou sur épaves sont réalisées avec le maximum de sécurité et de confort... Merci à eux... |
"Tek... nique"
"Technico-bricolage": Gonflage Air / Nitrox / Trimix... dans son garage!
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[23/11/2009] |
Ce qui suit n'est pas un cours, encore moins une leçon, au mieux il s'agit d'une proposition de solutions et d'idées livrées ici en toute subjectivité. Libre à vous de vous en inspirer... ou pas... |
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Nitrox, Trimix... pour plonger sur épaves, qu'elles soient sur un fond de 30m ou sous plus de 100 m d'eau. Des mélanges pour améliorer la sécu de ses immersions ou rendre accessible les plus profondes... Quelques plongées de formations... et vous voila titulaire de l'une de ces cartes qui atteste que vous appartenez à la caste de plongeurs qui "respirent autre chose que de l'air"!!! C'est après que les choses se compliquent. Où et comment gonfler? |
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Rien n'est plus frustrant que de détenir une carte CMAS et d'avoir le sentiment qu'elle est un peu inutile. Combien de plongeurs, une fois leur qualif Trimix ou Nitrox en poche plongent régulièrement avec ces gaz? Certes, certains clubs proposent du Nitrox 32 au même prix que l'air... d'autres font payer un petit supplément... Mais dans certain coin il est difficile voire impossible de trouver la moindre trace de gaz suroxygéné ou d'Hélium!!! Alors, certains plongeurs ont franchi le pas et ont installé leur propre station de gonflage Air / Nitrox / Trimix dans leur garage. Si vous êtes confronté vous aussi à ces problèmes de gonflage et que vous êtes prêt à faire le grand saut, voici un exemple d'installation et quelques conseils dont vous pouvez librement vous inspirer... |
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Une sérieuse formation et pas mal de pratique sont nécessaire avant de se lancer seul dans l'aventure. La manipulation d'O² présente des risques et la fabrication de mélanges ne souffre pas d'approximation. Il faut donc se former... puis pratiquer. Des organismes de plongée TEK, tels TDI ou IANTD, dispensent des modules de formation appelés "GAS BLENDER" (traduisez "technicien en fabrication de mélanges") qui permettent de se familiariser avec ces techniques. Malheureusement pour les plongeurs fédéraux, La FFESSM ne propose rien dans ce domaine, ce qui conduira ses plongeurs Trimix ou Nitrox à se tourner vers d'autres organismes pour avoir une formation digne de ce nom. Bien souvent les formations "Gas Blender" peuvent être effectuées en même temps que les formations plongée "Trimix Hypoxique" ou "Full Trimix". Bien que complète et souvent correctement réalisée, elle ne suffisent cependant pas à une parfaite maîtrise de l'art de la fabrication de mélanges. N'hésitez pas à vous faire conseiller par des plongeurs aguerris à ces techniques et à pratiquer avec eux. En effet seule une pratique "encadrée" et une bonne expérience vous permettra de voler de vos propres ailes. |
Carte IANTD "TRIMIX GAS BLENDER" qualification "technicien en fabrication de mélanges" |
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Une installation "maison" avec compresseur, stick, "omni-booster"... |
Ce qui suit n'est en aucun cas une incitation à monter votre station. L'installation présentée ici se voudrait juste être un modeste exemple parmi tant d'autres, une installation certainement imparfaite et perfectible, mais réellement fonctionnelle. Vous pouvez librement vous en inspirez comme base de réflexion... Elle est d'ailleurs elle-même inspirée par des stations précédemment installées par des plongeurs passionnés et précurseurs, bricoleurs géniaux qui ont accepté eux aussi, de partager leur savoir, leurs connaissances et leurs expériences. Vous voilà formé, vous maîtrisez la manipulation des lyres, pressions partielles, sticks, boosters, analyseurs, surfiltres, compresseurs... et connaissez sur le "bout de votre PC" les logiciels de fabrication de mélanges... C'est décidé, vous allez franchir le pas et installer dans votre garage votre station personnelle AIR / NITROX / TRIMIX. Voilà donc un exemple, quelques idées, et autres modestes conseils qui vous permettrons d'avancer un peu plus dans votre aventure personnelle. Vous l'aurez compris l'installation de votre station Air / Nitrox / Trimix dans votre garage va nécessiter un investissement minimum, et, bien que certains éléments de l'installation puissent être bricolés à moindre coût, d'autres représentent une part importante d'un budget, tout de même non négligeable. Il est toujours possible de se regrouper entre "compagnons de plongée aux mélanges" afin de mutualiser les investissements. Attention tout de même à bien choisir ces compagnons de gonflage afin que l'affaire ne tourne pas en "eau de boudin" L'installation présentée ici comprend: un compresseur, deux B50 d'O², une B50 d'Hélium, un bloc tampon de 50l à 200 b, un stick "maison", un "omni-booster maison", un surfiltre, une lyre de transfert d'O², un détendeur-débitmètre O², des raccords (He, O², 26/25...) et des logiciels. |
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Plusieurs "gaziers" sont sur le marché de la plongée. Il ne faut pas hésiter à comparer les offres et faire marcher la concurrence. Voici quelques "enseignes" vers qui vous pourrez vous tourner pour mettre en place un contrat d'approvisionnement en gaz plongées: AirLiquide, Linde, Westfalen, Messer... Sachez enfin que certains gaziers ont mis en place des partenariats avec les organismes de plongée: la FFESSM avec AirLiquide, IANTD avec Linde... par exemple. En tout cas, lisez bien à travers les offres qui vous seront proposées: certains refuseront de faire un contrat avec un "particulier", vous demanderont maintes formalités, numéro "jeunesse et sport" (?!), tels ou tels critères d'accès, vous imposeront des frais de livraison, ou encore un engagement sur plusieurs années... Et, certains gaziers partenaires de fédérations peuvent se montrer particulièrement "tatillon" et parfois plus cher que des gaziers moins connu...Quoi qu'il en soit les gaz vous seront livrés dans des "B50" (bouteilles de 50l à 200b). WESTFALEN est plutôt bien placé: peu de contraintes administratives et pas mal niveau tarifs... O²: Deux types de contenants pour un même gaz: L'O² "respirable" est conditionné dans des B50 identifiées comme "médicales", "oxydive" ou "oxyplongée" alors que l'O² "chantier" (pour la soudure) l'est dans une B50 "plus classique". Ces deux gaz sont les même. En clair, il n'existe pas d'O² pur médical et d'O² pur chantier. C'est bel et bien le même O², mais il est soumis à des traitements et procédures différentes, avant et pendant son conditionnement dans sa B50 spécifique. Sans rentrer dans les détails, les B50 médicales sont vidées plusieurs fois par aspiration avant re-remplissage et bénéficient de contrôles et procédures spécifiques qui en garantissent sa parfaite pureté. Bref, devant deux conditionnements différents pour un même gaz, et deux prix différents il est tentant de recourir à l'O² chantier bien moins cher!!! Attention, Epaves-passion.com ne cherche en aucun cas à inciter qui que ce soit à l'utilisation de gaz non spécifique. Mais force est de constater que l'utilisation d'O² pur "chantier", par les plongeurs, est pratique courante depuis longtemps... et ce, sans problèmes connus... Et que, être bien avec son plombier, peut avoir quelques avantages!!!
He: Pour ce gaz il n'y a pas le choix. Certes on peut trouver de l'hélium à ballon un peu partout, mais il n'est pas utilisable en plongée car il contient des traces d'hydrocarbures qui pourraient s'avérer toxique à l'inhalation. Il faut donc ouvrir un compte chez un gazier et payer au prix fort ce gaz rare. La pureté de l'He est indiquée par un code chiffré: par exemple une B50 estampillée 4.6 contient de l'He pur à 99,96%, alors qu'une 5.0 contient de l'He pur à 99,999%. Il est possible d'utiliser du 4.6 (un peu moins cher) pour du Trimix normoxique, mais pour une plongée à 120m avec un Tx 10/70 (70% d'He respirés au fond à 13b de pression!) il vaut mieux "s'enfiler dans les poumons" un He très pur!!!
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O² "chantier"
B50 d'He et d'O²
Hélium 5.0 |
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Compresseur BAUER, JUNIOR II 6m3/h, 330b, 220V |
C'est l'élément le plus onéreux de l'installation mais malheureusement il est incontournable, ou presque (*) . Il est possible d'en trouver d'occasion, mais souvent ils ont beaucoup tourné. Un compresseur en fin de vie ou "poussif" peut engendrer des coûts de réparation prohibitifs. De plus, quand il s'agit de clubs qui les vendent, se sont souvent des compresseurs de gros débit qui ne sont pas toujours adapté à de "petits gonflages entres amis". Si un de ceux-là vous tente tout de même, assurez-vous au moins qu'il est été révisé et reconditionné par le constructeur. L'option du neuf est certes plus couteuse au départ mais à la longue peut s'avérer moins onéreuse. Sachez que l'on peut trouver des "petits compresseurs" à partir de 2000€ en thermique ou 220V. Ils offrent un débit de 6m3/h et permettent de gonfler à 230b un bi 12 vide en moins de 50'. 6m3/h peuvent suffire pour une utilisation régulière entre amis... L'installation présentée ici est basée sur un compresseur BAUER JUNIOR 2 (220V, 6m3/h, 330b). C'est un compresseur qui, bien que de faible débit, est réputé pour sa robustesse. Il permet de ce fait, de gonfler à la suite plusieurs bi sans problème de surchauffe ou de fiabilité. Il ne pèse que 45Kg, il est facilement transportable. Seule contrainte: purger les décanteurs manuellement toutes les 15'. Mais voyons les choses du bon coté, cette petite contrainte oblige le "gonfleur" à rester présent lors de l'utilisation, lui permettant ainsi de mieux surveiller le gonflage ou le réglage du stick par exemple. Le JUNIOR 2 de BAUER se trouve neuf aux environs des 3000€. * Il existe une "demi solution" ou une solution à moitier satisfaisante, pour pouvoir se passer d'un compresseur personnel: utiliser celui d'un club compréhensif qui vous prêtera ou louera le sien. Souvent les présidents de club rechignent à endosser la responsabilité de laisser un petit groupe gonfler avec de l'O² dans le local du club. Problème d'assurance et de responsabilité... Une solution intermédiaire pour faire du Nitrox confirmé consiste à effectuer les transferts d'O² à la lyre dans votre garage puis de faire le complément en air avec votre surfiltre personnel sur le compresseur du club. Cette solution bien qu'incomplète présente l'avantage de ne pas avoir à manipuler ou à stocker de l'O² dans le local du club. Votre surfiltre devra OBLIGATOIREMENT être muni d'un clapet anti retour qui empêche toute remontée d'O² pur vers le compresseur du club, ce qui protège des erreurs de manipulations et rassure le gentil président qui vous prête son installation... |
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Le rôle de cet "ustensile"est de mélanger de façon homogène deux gaz de densités différentes. De l'O² et de l'air pour le stick Nitrox et de l'He et du Nitrox pour le stick Trimix. Une fois bien mélangés, les deux gaz sont envoyés vers le compresseur après analyse. Le stick Nitrox permet de fabriquer des nitrox jusqu'à 40% d'O²: en mélange fond (Nx 30 pour explorer une épave à 40m), en complément pour fabriquer des trimix (fond ou travel) ou en complément dans des blocs déco (nitrox confirmé) en intercalant un surfiltre. Certains magasins spécialisés commercialisent des mélangeurs prêt à l'emploi entre 300 et 500€. Mais de nombreux plans de "sticks artisanaux à fabriquer soit même" circulent sur le net. Vous pouvez également vous inspirer de celui présenté ici: fabriqué pour quelques dizaines d'euro avec 3 tubes PVC de 30 cm de long en 40mm de diamètre, et divers raccords... L'ensemble est compact, peu encombrant, et facilement transportable. A l'intérieur de chaque tubes PVC horizontaux est installé une spirale de 5 tours fabriquée avec des bandes PVC (découpées dans une "goulotte" en PVC blanc servant à faire passer "élégamment" des câbles électriques dans l'angle d'un mur intérieur). On découpe donc des bandes de 40mm de large et 30cm de long que l'on chauffe au décapeur thermique puis on les tord facilement afin de former une suite de 5 spirales. Une fois refroidies elles conservent leurs "tortillons" et sont enfilées dans chacun des 2 tubes PVC... Enfin la cellule de l'oxymètre est placé sur le stick pour une lecture précise du mélange envoyé au compresseur. Détail d'un stick artisanal. (Cliquer pour agrandir) Le plus compliqué est de trouver les bons raccords permettant de joindre sans fuite des tuyaux de différents diamètres et de différentes natures. Enfin, avant de tout coller (à la colle PVC par exemple) tester les éventuelles "pertes de charges": il ne faut pas que le stick freine trop le flux aspiré par le compresseur. Sinon l'affichage de l'oxymètre ne sera pas stable. Un bon moyen d'identifier ces pertes de charges consiste à calibrer l'oxymètre à l'air, compresseur éteint, puis le lancer sans injection d'O². Il ne faut pas que l'affichage de l'Oxymètre change des 20.9 calibrés et il ne doit pas non plus fluctuer quand le compresseur tourne. Si ce n'est pas le cas vous aurez des difficultés à fabriquer votre nitrox avec précision, et c'est le signe qu'il y a trop de "restriction du flux" dans votre stick...Attention aux collages à la colle PVC. Cette colle contient de puissants solvants qui permettent une "soudure chimique" définitive des tubes PVC. Même après séchage les restes de solvants continuent d'être volatiles. Il faut attendre au moins 10 jours avant de faire tourner son stick, afin qu'ils se soient complètement volatilisés, cela, pour d'éviter de les respirer sous l'eau. Le stick trimix: Il s'agit ici d'utiliser un stick double (deux mélangeurs et deux analyseurs) qui fabrique en cascade un Nitrox (air + O²), puis en y ajoutant de l'He on obtient un Trimix en flux continu. Deux méthodes sont possibles: Soit fabriquer un Héli-air puis y ajouter de l'O², soit fabriquer un nitrox puis y ajouter de l'He. Les deux fonctionnent. Dans l'exemple qui suit la première partie du stick fabrique un Nitrox (air +O²), puis dans la seconde ajoute par injection de l'Hélium. Le tout est envoyé au compresseur afin de fabriquer un trimix en une seule opération. Le problème est, qu'à ma connaissance, il n'existe pas sur le marché, de cellules capablent de mesurer un pourcentage d'He en flux continu (comme pour un oxymètre, la mesure du pourcentage d'He dans un bloc se faisant par résonnance sonore ou nécessite un laps de temps incompatible avec le flux continu). L'idée est donc de déduire la teneur en He du mélange fabriqué avec le stick trimix grâce à son taux d'O². On utilise deux cellules et deux oxymètres. Le premier est placé la fin de la partie qui fabrique le nitrox, le second à la sortie du stick trimix après l'injection d'He et son mixage. Un logiciel comme "DiveMix" est capable de nous donner les affichages des deux oxymètres afin d'obtenir le trimix désiré. Cette méthode est réservés aux connaisseurs qui maitrisent parfaitement cette technique. Elle présente l'avantage de pouvoir gonfler trimix en flux continu et sans trop de manipulation. Et surtout avec une précision diabolique!!! Plus de rajout à faire après homogénéisation et refroidissement du bloc gonflé. Inconvénient, hormis la maîtrise de cette technique, il faut deux deux analyseurs d'O²... |
"Torsades" pour un mélange homogène: 5 torsades suffisent pour homogénéiser un mélange air/O²
Fabrication d'un Trimix au " Double stick"(Cliquez pour agrandir)
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Gonflage "Hélium" à l'OmniBooster
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Partant du principe que les gaz coûtent cher et que vous êtes des plongeurs prévoyant, vous surévaluez toujours les quantités de gaz que vous avez besoin en immersion. Il vous reste toujours des fonds de B50 d'Hélium ou des fonds de trimix ou de nitrox dans vos différents blocs. Pas de gaspillage... Ne les videz pas. Réutilisez-les. Pour cela il vous faut deux éléments incontournables: - Un moyens de "récupérer" les derniers bars de vos blocs et de les rediriger sans pertes vers le compresseurs. - Un logiciel qui vous aidera à calculer de façon très précise les mixtures que vous obtiendrez ou les apports d'O² ou d'He nécessaire pour obtenir le mélange désiré. Attention ces "bricolages" ne permettent d'envoyer vers le compresseur que des trimix, nitrox ou He pur... dont la teneur est inférieure à 40% d'O². Ne pas les utiliser pour des mélanges supérieur à 40% d'O²!!!
Tampon gonflable ou OmniBooster:
Fabriquer un OmniBooster (Marou , UFP) Les logiciels de calculs pour fabriquer les mélanges: Plusieurs outils informatiques existent pour calculer: les quantités de gaz à transférer pour obtenir le mélange désiré, le mélange obtenu en utilisant tel ou tel gaz en complément avec l'OmniBooster... Ses logiciels nécessitent un peu de pratique mais restent accessibles aux utilisateurs non féru d'informatique, de physique ou de calcul de pressions partielles. Ici, deux exemples: un gratuit "DiveMix" et un payant mais incontournable, le "Mélangeur de V-Planner".
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Enfin,
pour conclure ce long chapitre, quelques mots de ces accessoires
difficilement "bricolables", mais malheureusement indispensables.
*Norme des filetages "standard plongée": 1er étage de détendeur air DIN 200b = 5/8G. 1er étage de détendeur DIN Nitrox = ISO 26x200.
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Des questions, des éclaircissements... des remarques ou corrections: postmaster@epaves-passion.com
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